J’ai lu Le Figaro ce matin. Je rentre juste chez moi. J’allais commenter ses mensonges mais vous ne m’avez pas laissé le temps matériel de le faire. Avec vous, on n’a pas le temps de s’asseoir à son ordi qu’on est déjà insulté.
Je note cependant que vous avez fort bien vu qu’il y a encore des prieurs de rue, puisque vous écrivez :
" "les personnes qui priaient dans la rue étaient pour la plupart dans l’ignorance qu’un nouveau lieu de culte était ouvert" "
Donc, il y a encore des prieurs de rue, vous le savez, mais vous leur trouvez des excuses.
Parait-il qu’elles ignoraient qu’un nouveau lieu de culte était ouvert ! Avec tout le battage qui a été fait sur ce sujet !