J’ajoute : Satan n’est certainement pas un révolutionnaire. Satan est un personnage de contes pour enfants, l’incarnation d’un concept à deux balles : le mal.
Par contre, Lucifer, entité imaginaire, celui qui apporte la lumière, lui est intéressant.
Marrant de constater que le pire du pire, dans la tradition catholique, c’est Lucifer, celui qui apporte la lumière, celui qui éclaire, et qui est allègrement confondu avec Satan, le grand méchant pas beau tout rouge qui sent le souffre et s’amuse à faire des barbecues géants en se marrant.
Sont marrants les tradi tout de même, surtout dans leur soif soudaine de liberté d’expression. C’est vrai que ruminer des âneries à la tonne sans pouvoir les dégurgiter, ça pourrait les intoxiquer : soyons indulgents...