Au moment où l’on apprend que Papandreou pourrait revenir sur sa décision d’organiser un rérérendum, moins de vingt-quatre heures après l’avoir annoncé, on mesure à quel point Asselineau est au fond un romantique, qui n’a aucune idée de ce qui se passe dans les coulisses et qui, comme la quasi totalité de nos contemporains, ne peut pas s’empêcher de réagir à chaud.
Croire que la Grèce est encore un "pays souverain" et qu’un politicard comme Papandreou n’est pas qu’un simple pion relève du fantasme. Asselineau est sincère, mais illusionné.