Ce qui est bien dans ce bouquin, c’est qu’il donne des noms.
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Actuellement, la majeure partie de la critique du système prends bien soin de la dé-personnifier.
On regrette les conflits d’intérêts, mais sans jamais citer ceux qui les pratiquent, etc etc.
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François Pérol, Alain Minc, Stéphane Richard, Jean-Charles Naouri, Jean Marimbert, Henri Proglio, Stephane Richard, Alexandre de Musca, ... des gens qui n’ont cessé de faire des aller-retour entre public et privé pour chaque fois servir leur intérêts personnels, et cela dans les plus parfaits conflits d’intérêts.
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Si une vrai gauche revenait au pouvoir, elle devrait juger toutes ces personnes pour trahison. Les vrai responsable de la crise, ce sont eux !