• AgoraVox sur Twitter
  • RSS
  • Agoravox TV Mobile


En réponse à :


10 votes
ffi 19 février 2012 17:55

Surtout que ce qui brise les solidarités, en pratique, c’est le fait de pousser les gens à se "déporter" et à s’éparpiller sans cesse, ce qui fait qu’ils ne se connaissent plus du tout (cf anonymat des grandes villes). Les gens mettent du temps à s’apprivoiser mutuellement, ils ne sont pas des pions ni des machines. L’amitié vraie ne se fait pas en un jour. Après un jour, c’est le bal des hypocrites.
 
Les liens de solidarité sont toujours long à s’établir.
Les migrations humaines ne sont pas gérables comme la juxtaposition de marchandises sur un étal.
 
L’homme, en tant que sujet pensant et ressentant, n’est pas un objet inerte : c’est pour cela que le travail ne peut être géré comme un marché.
 
Mais Isga reste dans sa chosification des hommes, à la suite de ce qu’il croit comme idéologie salvatrice de la situation, car la déconstruction du sacré post-révolutionnaire, à laquelle il adhère, aboutit à une chosification (marchandisation) des hommes : il y a la chosification de gauche et la chosification de droite.
 
Depuis la révolution, les hommes sont perçus comme des numéros, des nombres, des choses, sans spécificité ni aspirations particulières.




Ajouter une réaction

Pour réagir, identifiez-vous avec votre login / mot de passe, en haut à droite de cette page

Si vous n'avez pas de login / mot de passe, vous devez vous inscrire ici.


FAIRE UN DON