Avec Diane Ducret, on a vraiment le pompon ; "l’époque a changé" dit-elle et si autrefois il était normal que de Gaulle s’en prenne à l’argent, la modernité veut qu’on trouve normal l’association décomplexée du pouvoir politique et de l’argent.
Pour Madame Ducret ce qui était immoral dans les années 60 est devenu la norme aujourd’hui.
L’argent est devenue une sorte de vertu politique dont la condamnation confine au fascisme.
Un tel cynisme est confondant mais il est aussi révélateur d’un microcosme que je refuse ici de qualifier d’intellectuel (même si cette dame est historienne).