E ; Mullins est un vulgarisateur aux écrits brouillons et journalistiques, approximatifs et parfois proches du plagiat, mais, avant tout, c’est un Yankee, avec sa suffisance paternaliste, ses oeillères d’éléphant, son cynisme naïf, sa schyzophrénie d’antisémitisme chrétien, etc.
Son idéal est un retour aux racines de l’Amérique, dont il semble ne pas se rendre compte qu’elles sont essentiellement juives ; aux Pères fondateurs, dont il ne semble pas se rendre qu’ils furent pour beaucoup d’entre eux des francs-maçons.
Un énième shabbah goy.