on peut ne pas etre d accord avec les solutions, mais partager le meme constat.
Doze a le merite d etre bien informé contrairement a d autres economistes, meme si je suis loin d etre d accord avec ses solutions libérales a la crise, bien qu il se soit calmé (il s est keynesianisé) depuis le passage de jacques sapir a bfm la semaine derniere :
Doze parlait de solution par la devaluation et de sortie de l euro, alors que quelques mois avant il fustigeait les grecs de mauvais gestionnaires et mauvais payeurs.