Justement, pourquoi on abandonne ce qui pourrait être notre propre production en la lèguant à d’autre ? Celui à qui l’on a abandonné notre production vivrière possède alors un pouvoir inégalable sur nous : celui de nous nourrir.
Notre révolution française à débuter non seulement car les caisses étaient vides mais le prix du pain avait plus que doublé.
Donc faisons en sorte de pouvoir s’engraisser, prenons de l’embonpoint avant que les plus aisés ne commencent à maigrir et nous, à mourrir.