Cet exposé est d’un courage tout à fait gigantesque. On imagine pas les contraintes idéologiques du milieu de l’architecture et de l’urbanisme. Heureusement, cela commence un peu à bouger et on peut enfin commencer à avouer sa haine d’un architecture affreuse, qui cherche à casser constamment les repéres et traditions populaires et historiques. Cela dit, on peut tout à fait apprécier ceertaines initiatives "contemportaines", hélas, ce qui aurait du être une belle architecture du 21e siècle, continuité de la tradition volontairement interrompue entre 1920 et 1940, est devenue une architecture largement terrifiante et souvent assez laide.