En 2011, avec une dette s’élevant à + de 100% du PIB, le trésor américain pouvait emprunter encore à 2,60% auprès des marchés, grace aux bonnes opinions des agences de notation.
Marchès et agences qui n’ont pas de mansuétude pour - entre autres -la Grèce et l’Italie. (voir ici)Pourquoi ? Les marchès sont beaucoup moins rationnnels qu’ont veut nous le faire croire.
De plus Lenglet nous livre une liste de pays miséreux pour démontrer l’inefficience du "quantitative easing". Notre analyste manque de raffinement.
Par exemple, Cuba sous le embargo commercial de depuis 1962, du fait des État-Unis (voir ici), offre à sa population un taux de mortalité infantile inférieure à celuis des EU. Faut-il en conclure que faire fonctionner la planche à billets sauve des bébés ?