"Jusqu’à ce que le contrôle de l’émission de devises et de crédit soit
restauré au gouvernement et reconnue comme sa responsabilité la plus
flagrante et la plus sacrée, tout discours sur la souveraineté du
Parlement et la démocratie est vain et futile... Une fois qu’une nation
abandonne le contrôle de ses crédits, il n’importe plus qui fait ses
lois... L’usure, une fois aux commandes, coule n’importe quelle nation."
Citation de William Lyon Mackenzie King (ancien premier ministre du Canada)
Le problème n’est donc pas qui parle, mais qui écoute. Il semble que le
même message, pour être entendu par le plus grand nombre, doive passer
par la bouche la plus improbable (ici une gamine de 12 ans) pour que
quelques oreilles, enfin, se tendent...
Cela en dit long sur la nature du "gouvernement (prétendument)
représentatif", qui est le strict opposé de la démocratie véritable.