On ne remerciera jamais assez de telles mégères, on pourrait presque dire, pour filer la métaphore apostolique, de telles poissonnières - dont les ancêtres furent pour beaucoup dans la propagation de l’infection chrétienne - de démontrer que la République n’est ni plus ni moins qu’une manifestation de l’esprit judéo-chrétien, de l’esprit asiatique, dans sa forme la plus hystérique, la plus trisomique.
Le christianisme et, avant lui, le judaïsme a promis la liberté aux esclaves - et, concomitamment, la mise en esclavage des hommes libres. Pas étonnant qu’un judéo-chrétien sommeille en toute femme.