"Pour l’heure, il faudra nous contenter de ça, en attendant, dans six mois, dans un an – on en prend le pari – des remises en cause du bourrage de crâne sur la Syrie, remise en cause émanant de certains de ses médias mainstream, de certains analystes bien en cour médiatique qui joueront, avec retard, les procureurs de l’aveuglement et de la servilité de tant de leur collègues. On a déjà vu et entendu ça après la première guerre du Golfe !"

En attendant, c’est grâce aux médias et avec leur complicité que la République s’est dépouillée de sa souveraineté, et nous assistons à des guerres qui se font en notre nom