Je m’appelle Maxime Vivas et je suis administrateur du Grand
Soir. J’ai rencontré Ornella Guyet en
2008 à Marseille où je présentais un de mes livres dans une librairie. Elle
avait tenu à se joindre à la petite équipe qui était parti ensuit en dîner au
restaurant. En 2009, elle m’envoyait aimablement ses vœux. En 2010, elle
insista pour me rencontrer à Toulouse où je vis désormais. Elle était professionnellement
désoeuvrée et il m’a semblé qu’elle aurait bien voulu entrer au GS.
En 2011, Marie-Anne Boutoleau a publié sur Article 11 un
article diffamatoire contre LGS. Plus le mensonge est gros… J’ai demandé à
Guyet ce qu’elle en pensait. Elle m’a répondu par mail que « très
franchement », elle ne voulait pas se mêler de la querelle. J’ai appris,
plus tard que Boutoleau, c’était elle. Ethique, morale ?
Un ami m’a signalé cette émission en me disant qu’on y
morflait encore. Je ne suis pas allé au bout. J’y ai bien reconnu l’esprit d’amalgame,
les jets d’oukazes et de fatwas, les petits mensonges, les molles erreurs, les
ricanements de contentement de soi, et la méchanceté triomphante.
Bien entendu, quiconque me lit ou lit Le Grand Soir n’y
trouvera pas plus d’antisémitisme que d’auréole de sainte sur le tête de
Cruella Guyet.