Je me permets d’ajouter un truc. Dans le cas de Gilles Jacquier il est probable que ce parti pris (que tu décris bien machiavel) l’ait conduit à la mort. Il s’est aventuré à Homs dans une zone de combat alors que le couvre feu venait de s’achever, en n’étant manifestement pas conscient des risques. Il est possible qu’il ait été convaincu que la violence n’émanait que du régime jusqu’à l’instant où il a reçu une roquette en provenance du quartier rebelle de Baba Amr.