Et oui, il est toujours resté prisonnier des catégories marxistes,
et il tombe donc sur une synthèse nationale socialiste.
(c’est-à-dire le socialisme dans une nation)
Remarquez bien que si l’étranger est l’ennemi du national-socialisme, du fait de sa xénophobie, c’est le compatriote qui est l’ennemi de l’interationale-socialisme, du fait de sa xénophilie...
Le problème est en fait dans le socialisme, qui repose sur un libéralisme moral, c’est-à-dire que c’est une doctrine dénuée de loi morale, et, par conséquent, qui méconnaît la double nature, corporelle et spirituelle, de l’homme.
L’homme est sujet aux lois physiques pour son corps et aux lois morales pour son esprit.
Le socialisme méconnaît cela, car il découle du scientisme et du positivisme.
Pour le socialisme, l’homme est un pion.
Il ne subirait que des déterminismes de type physique comme les choses inertes.
Mais l’homme est vivant : il ne subit pas que des causes, il a aussi des fins particulières.
Plus, la cause du comportement de l’homme, c’est sa fin.
Et la fin de l’homme, c’est :
- ou le respect des lois morales, donc le paradis,
- ou l’infraction aux lois morales, donc l’enfer.