Pour reprendre la métaphore du tsunami de lagarde, il y a moyen de l’améliorer, parce qu’on est loin de la réalité.

Le tsunami est au bord des terres, il y a un mur d’eau immense qui menace de s’abattre et la seule idée qu’on ai trouvé, c’est de foutre une légion de pompier sur les digues face à la vague avec des lances à eaux douce tellement puissantes et nombreuses que la vague s’en trouve ralentie...
Sauf que...
1) La vague grandit.
2) Elle n’est que ralentie.
3) Plus le mur grandit, plus il faut mettre de pression dans les lances à eaux.
Il y a donc un moment ou cela deviendra tout simplement techniquement impossible et quand on en sera là, le mur aura plongé dans l’ombre tout ce qu’il y a de terre depuis un moment...On mourra donc peut être d’angoisse et de déprime avant d’être submergé.

Ca explique un peu mieux les réjouissance que delamarche essaye d’expliquer.