Quand à la qualité de certains intervenants laissez moi rire,
Annie Lacroix-Riz, Stalinienne de la pire espèce, elle sait ce que c’est que le négationnisme, elle l’a pratiqué abondamment et le pratique encore pour minimiser les crimes du dictateur soviétique.
"C’est dans le fond la position d’un [Jean] Bricmont qui vient encore de « commettre » un texte dans lequel il revient à son antienne favorite, son unique idée : "il faut libérer l’occident de sa crainte d’être accusé d’antisémitisme", que Bricmont se rassure, nul ne songera à croire qu’il est encombré de ce point de vue, ce n’est pas lui qui sentira jamais l’odeur des corps qui brulent et la défense de la Palestine n’est pour que lui que l’occasion d’étaler ses obsessions. Les rapports de force dans le monde, les opportunités, rien ne l’intéresse, il n’y a que l’antisémitisme, la nécessité de sa banalisation pour libérer l’humanité. Le gouvernement israélien est d’abord pour lui juif comme pour Liberman et Dieudonné. Tant que l’on n’aura pas le courage de voir que ces gens disent la même chose on n’avancera pas parce que l’on ne comprendra pas que les camps se reforment sur la même base, celle qui vise toujours et encore en temps de crise à transformer l’impérialisme, le capitalisme en problème racial, à développer "la haine du voisin". Il y a désormais un antisémitisme qui se veut de gauche mais qui fournit à l’extrême-droite israélienne sa meilleure justification."