Curieux comme la plupart des tenants de l’abolition des lois dites mémorielles se concentrent ici sur une seule, ne défendent que les négateurs du génocide des juifs par les nazis,
La main sur le coeur ils nous jurent d’être soucieux de la liberté d’expression et de la vérité historique.
pourtant ce sont les mêmes que l’on retrouve bavant d’admiration devant le vétéro-testiculaire vantant les mérites des Le Pen, du régime d’hitler ou de la république de Salo ou finit Mussolini,
ils ont menti pour Kadahafi et mentent aujourd’hui pour Bachar el Assad, Poutine, Chavez et Ahmadinejad, qu’est-ce donc qui les réunit ?
" Reconnaître la réalité du génocide arménien ou déclarer que la traite négrière et l’esclavage sont des crimes contre l’humanité (1) ne ressort pas de la loi. En réprimer la contestation si. A quoi servirait d’ailleurs une loi « déclarative » que chacun pourrait violer sans encourir de sanction ? Il ne s’agit pas de donner compétence au Parlement pour dire l’histoire, mais de donner aux juges les moyens de dire le droit. Nous disposons aujourd’hui du recul de plus de vingt ans d’application de la loi Gayssot. Depuis son adoption, pas un historien n’a été empêché de faire son travail. Toutes les personnes condamnées pour négationnisme l’ont été en raison de leur mobile antisémite, pas pour leurs travaux historiques. Aucun d’eux n’est d’ailleurs historien. La loi Gayssot a été adoptée pour lutter contre l’antisémitisme qui se dissimule derrière la négation du génocide des Juifs pendant la Seconde Guerre mondiale, pas pour réécrire l’histoire."