"Je suis assez d’accord la dessus !"
Quand on sait ce que les Russes pensent des Tchétchènes de toute éternité - n’oublions pas qu’ils se sont rangés aux côtés des Nazis en 41-43 -, on rigole doucement.
Poutine a accru son capital de popularité, le jour où il a dit qu’il fallait les buter jusque dans les chiottes. C’était il y a treize ans et il n’avait nule besoin du spectacle des banlieues émotives françaises pour s’assurer le soutien de son peuple dans sa croisade.