Ce que subit le peuple grec est une nouvelle forme de fascisme déguisé sous l’habit des marchés financiers, alors c’est vrai que leur gouvernement soumis aux dictats de Bruxelles et du FMI n’en a pas l’étiquette et qu’il est politiquement incorrect de le dire ...mais qu’importe l’étiquette, c’est le résultat qui compte !