J’allais le dire cassia. Si ces usagers de crack avaient chacun à leur disposition 2 ou 3 are de terrain, un motoculteur en commun, et un accès 1h par jour à un peu d’eau d’irrigation, beaucoup de leurs problèmes seraient résolus, et de là beaucoup de problèmes qu’ils posent également. Ces déserts alimentaires, c’est vraiment la prison à ciel ouvert.