"...ils seront au contraire la partie dynamique et le sang jeune d’une nation française dans laquelle nous les aurons intégrés."
Il s’agissait alors de sauver l’Algérie française et JMLP montrait qu’il n’était pas plus à l’abri des illusions universalistes que les autres hommes politiques.
Mais ensuite, il y a eu l’indépendance, suivie de cinquante ans d’indépendance tout au long desquels, le monde entier a pu constater que la "partie dynamique" et le *sang jeune" n’avaient pas le rendement dont on croyait pouvoir les créditer.