Je ne vois pas en quoi il serait dans le rôle de l’État de légaliser une substance quand on sait que 10 à 20% de ses consommateurs tombent dans la folie, nécessitant la prise de médicament pendant de nombreuses années.
Mais le cas général, c’est la démotivation totale ou la fainéantise.
Au-delà du problème des substances, c’est le problème des addictions qu’il faudrait traiter :
Entrer dans le cercle vicieux de la recherche du plaisir pour le plaisir est déjà une perversion en soi. Ce n’est pas un sort enviable. Cela engendre généralement le malheur.