Au contraire, la robotisation a fait explosé la demande d’objet dont nous avons besoin. Il y a toujours autant besoin d’ouvrier et d’ingénieur au final. Cette négation des effets multiplicateurs depuis l’industrialisation est assez atterrant. C’est la crise bancaire (fin du Glasssteagall) et les taux de change (fin du Bretton Woods) qui a donné ce que vous attribuez à la robotisation.