La robotisation demande beaucoup d’interventions (conception, intégration, installation et entretien). Ce sont des emploies productif extrêmement redistributeur de richesse sans parler du progrès dans les connaissance qui est stoppé autrement. Relativiser le positifs à venir avec une vision statique de la réalité est tout simplement du fatalisme auto-réalisateur. Il y a tellement de facteur annexe qui détermine le taux d’emploie globale (et donc de la France) comme l’éventualité d’un bon protectionisme (=temporaire) au niveau mondiale, un retour de l’investissement vers le productif,...
Enfin je note une hérésie. En Belgique il manque d’ingénieurs. Jamais ils ne pourraient baisser leurs heures de travail. C’est la réalité ça !