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Qaspard Delanuit Gaspard Delanuit 21 février 2013 03:34
Oui, très bonne vidéo et avec un montage intéressant (interventions de Soral et Asselineau et aussi du député belge même si je ne sais pas encore ce qu’il a dans le ventre).

Il n’y a qu’un seul gros obstacle, un seul problème : seulement 1 à 2 % de la population du pays est susceptible de prendre son destin en main. Et c’est la même chose pour la plupart des autres nations. 

C’est d’ailleurs dans cette fourchette que l’on comptabilise les résistants à l’occupant nazi dans les années 1940. Et cela se vérifie aujourd’hui autour de vous, non ?

Les gens veulent un bon maître, ils veulent des parents sévères et justes, ils veulent être rassurés... Ils ne veulent pas du tout être libres car la liberté est insécure, elle leur fait peur. Et surtout s’il faut réfléchir : "On va pas se prendre la tête", voilà le message envoyé heure par heure par les médias

Oh, certes ! Il y a des râleurs. Mais très peu veulent faire l’effort de remettre en question l’arbre même dont leur existence est une branche. Les crétins manipulés d’antifas qui se sont laissés refiler un vieux logiciel pourri datant de la guerre d’Espagne sont de bons exemples de faux actifs : ils se croient des résistants alors qu’ils sont les plus intégristes collabos du système. Ils ne sont même pas les gardiens du camp de concentration européen : ils sont les chiens des gardiens - plutôt caniches hystérique que dogues féroces.

Il n’y a donc pas d’autre possibilité que d’attendre un catastrophe réelle (par exemple la cessation définitive du paiement des retraites, un déficit alimentaire, des malades hurlant de douleur à la porte des hôpitaux fermés, des gens se suicidant en masse avec leurs enfants, etc.). Et il n’y aura même pas besoin d’un coup de pouce de la nature pour nous détruire : nous pouvons le faire nous-mêmes, simplement parce que nous sommes très cons. 

Yes, we can !

Alors, peut-être, après un cataclysme non seulement physique mais surtout MENTAL, quand les têtes auront été vidées par d’extrêmes souffrance de toute la merde que la télévision produit chaque jour pour engluer les cerveaux, ceux qui survivront pourront - peut-être - proposer une "nouvelle donne", repartir sur d’autres bases. En attendant, essayons de survivre, de nous organiser en réseaux, de préparer des arches (ou des pyramides) culturelles pour sauver de notre héritage spirituel ce qui mérite de l’être. 

Bonne chance !



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