Tout s’explique C’est très intéressant, surtout que généralement c’est cet aubier qui est le plus sensible aux attaques de xylophages, parce que plus jeune, plus tendre, plus vivant. Sur le terme de coloration oui tu as raison, même si en pratique ça revient au même : le phénomène existe, mais est imperceptible, d’où l’impossibilité de distinguer clairement l’aubier du bois de coeur sur du hêtre, du sapin, voire sur certains mélèzes ( j’ai eu en charpente du mélèze de Russie à travailler : aucun aubier, contrairement à l’essence locale qui en produit un léger ). Cassia, bon courage !