La dernière partie du reportage est bien triste : passer par google earth (ou map, je ne sais plus) pour pouvoir voir la petite ville où l’on a vécu et qui est vide, en partie détruite, c’est probablement plus pénible qu’autre chose pour ceux des Japonais qui le feraient.
Quand à ces radiations, il semble évident qu’elles sont en train de modifier très fortement la vie des Japonais actuels et les futurs en leur donnant des corps malades, difformes, en les poussant à la mort plus vite que la nature le leur aurait peut-être imposé.
Fukushima qui porte si mal son nom est un berceau de malheur pour le peuple japonais qui, comme le nôtre et celui de tout autre pays au monde, est soumis à des choix gouvernementaux, des choix économiques (et/ou financiers) qui ne sont pas du tout faits pour leur bonheur.
Pourquoi cette centrale en déréliction n’est-elle toujours pas confinée ? Les explications et les prétextes sont nombreux, certes. Mais la véritable raison... quelle est-elle ?