Faut quand même admettre que son discours est une copie conforme des considérations écolo.
Par conséquent, ce n’est pas de son titre de professeur d’économie qu’il parle, mais en tant que militant écolo.
Cependant, il y a de quoi être sceptique avec le gaz de schiste, mais pas pour les raisons qu’il dit, pour les mêmes raisons qui doivent rendre sceptique à l’égard de l’éolien et du photovoltaïque.
En effet, ce principe consistant à croire que multiplier les prélèvements de ressources infimes serait une solution est économiquement et écologiquement faux : pour ce faire, il faudrait multiplier les infrastructures de prélèvement à l’infini, d’où un accroissement considérable des prélèvements nécessaires pour les construire puis les maintenir.
Comme dit ezdez : s’il y a de l’hydrogène en quantité, voilà une bonne direction où aller.