J’apprécie Michel Collon
malgré le fait qu’il n’ose pas aller jusqu’au bout de sa pensée car il
est terrorisé à l’idée de se faire traiter d’antisémite. Il flippe grave
qu’on puisse le soupçonner de connivence ou de sympathie avec la
dissidence étiquetée antisémite comme Dieudonné, Meyssan ou Soral. Comme
dit Alain, quand la peur de sa vie est de se faire traiter d’antisémite
(comme Collon et Bricmont) alors on passe à autre chose, on fait de la mécanique (avec tout le respect du à ce noble métier).