Je perçois également - ce qui est plus sujet à controverse - un effet pervers dans le CDI : lorsqu’un employeur anglo-saxon embauche quelqu’un, il hésite beaucoup moins à faire appel à un passionné et à ne pas s’en remettre systématiquement au diktat du diplôme, comme en France. Pourquoi ? Parce qu’il sait que si le mec est un mytho, il pourra s’en défaire facilement. En France, étant donné que la législation du travail est beaucoup moins flexible, l’employeur préfèrera assurer ses arrières en embauchant l’oiseau rare qui a le diplôme idoine, même si cette personne est une buse.