Yann Moix est une pute, un caniche, ou les deux à la fois, ça dépend de ses envies sexuelles de soumission ou non, du jour. Quand il ne "Partouz" pas verbalement, il jappe contre "la meute", insulte un pays, mon pays et son peuple, donc moi, pour défendre un pédophile parce que juif, donc forcément génial et intouchable.
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Car le génie il ne l’a pas, il a simplement fait l’erreur d’avoir cru être touché par la grâce qui fait les plus grands cinéastes, l’inoubliable réalisateur du chef d’oeuvre Cineman, film que Dupontel et Poelvoorde lui ont renvoyé le scénario à la gueule tout en lui tournant le dos. Il a donc dû, en catastrophe, et par dépit, se rabattre sur un Dubosc de fond de tiroir.
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Ecrivain qui se veut célinien sans s’aimer, il a trouvé refuge dans la niche de BHL, qui, contre un peu d’éloge et de flatterie permet au caniche de s’exprimer encore un peu dans un recoin du jeu dont il établit la règle, pendant qu’il rêve d’adapter "Voyage au bout de la nuit" sur grand écran. Oui Yann, t’as le droit de rêver. De te rêver génial ou juif, ce que tu veux puisque les deux c’est pareil selon toi, il faut être juif pour être génial et inversement. .
Il avait demandé à BHL de lui pondre une critique élogieuse pour essayer de sauver les meubles de son naufrage cinématographique. Mais l’homme est plus doué pour plonger des pays dans le chaos que de sauver une bouse au cinéma. Il n’est plus à un léchage de fion près le Moix.
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http://www.lepoint.fr/actualites-chroniques/2009-10-22/pour-une-poignee-de-films-yann-moix/989/0/388281
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Soral a dit un jour qu’il avait des dossiers sur lui, j’en serai ravi si il les sortait un jour, comme antisémite carabiné avant de tourner casaque et de se lamenter de n’être qu’un goy obligé de se trouver de lointains ancêtres juifs, imaginés dans une nuit de délire entre deux pages du Talmud et de la Thora, Thora pas... Tort, par Thor, qui de rire, se tord tel Ynis (dieu oublié égyptien, dieu des serpillères). Se détester à ce point, se mettre à admirer de façon hystérique un peuple qui n’est pas le sien au point de lui lécher les bottes plus bas que terre, se mettre à son service, après l’avoir tant haï par dépit, par auto détestation, par constat de sa propre médiocrité, pour essayer d’en boulotter les miettes jetées de leurs tables dressées, il faut être un bien sale type, un moins que rien, une tâche sur un tapis, un chewing gum usagé décollé par une pelle de fossoyeur, pour se comporter de manière aussi abjecte et stupide, aussi rance comme il aime à penser les idéologies de la Suisse ou de la France.
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Cet amoureux des tyrannies qui passe ses vacances en Corée du Nord pour ne rien en apporter d’informatif à part le festival du PIF, ou si peu de choses dans ses billets interminables pour ne brasser que du vent, doit se sentir bien seul, dans la tyrannie de son absence de talent. Yann Moix, un gars aussi chiant dans sa tête que sur un plateau, un éternel masturbin qui se voulait libertin, un veuf de la séduction, un oublié du charme et de l’élégance, il n’y a qu’à voir la grosseur de ses traits pour en déduire qu’il n’est qu’un bobet. (Oui, attaque sur le physique, pas bien, pas bo... M’en fous surtout...)
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Plus proche d’un Gollum que de Légolas, il vomit sa morve de guerre lasse, en lorgnant envieusement les marches du Podium.
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Ce qui est étonnant dans cette époque étrange, c’est que ce sont des individus de son acabit qui trouvent micros et caméras pour donner leurs avis. Alors qu’ils devraient pourrir dans une anonyme fange.
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Qui mieux que l’intéressé lui même pour se décrire, dans un éclair de lucidité :
"’J’avais honte, physiquement honte, une impression d’être enveloppé de merde. Je n’ai plus osé sortir de chez moi pendant longtemps. C’est un film malade. Si j’avais su, j’aurais fait ma dépression plus tôt, avant de commettre ce film."
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Non Yann, être enveloppé de merde, dans ton cas, c’est pas qu’une impression....
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Source :
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http://www.technikart.com/les-blogs/raphael-turcat-technikart/6522-yann-moix-les-dessous-de-la-catastrophe-cineman
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Rassurez vous son égo se porte bien car même dans l’échec il ne peut s’empêcher de se comparer à un "Grand", ici, Terry Gilliam...
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Loki, un suisse rancunier qui t’emmerde profondément, mais très cordialement, Yann....