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Daniel D. Daniel D. 17 septembre 2013 16:16

C’est loin d’être aussi simple. Les collabos n’étaient pas la majorité des français, c’était ceux qui participaient de manière active a la collaboration, c’est a dire les institutions, élus et forces de l’ordre pour la partie structurelle, les services "spéciaux" comme la gestapo et les délateurs. Des collabos, il y en as eu de droite, de gauche, d’extrême droite, d’extrême gauche, du centre, et même des apolitiques...

Mais ce ne sont pas les mêmes personnes qui gouvernent aujourd’hui, chacun doit être jugé sur pièce et non sur le passé de son groupe. Des collabos il y en as aujourd’hui, et tous veulent l’Europe, certains même veulent une autre Europe, mais tous la veulent !

Le nombre de résistants était minime et la grande masse faisait comme aujourd’hui, elle se contentais de vivre en ne s’occupant que d’elle même.

Les idiots utiles ne sont pas des collabos, ce sont juste des idiots.

L’esprit français n’étais pas compatible avec la collaboration consciente, il n’y avais qu’une infime minorité qui connaissait la partie sombre du régime nazi, et la propagande avant guerre et pendant la guerre avait créé une opinion publique revancharde qui s’accommodait fort bien du traitement un peu brusque qu’ils constataient, car les "victimes" étaient accusées d’avoir causé les problèmes économiques et sociaux ayant amené la guerre. Mais ils ne savaient pas jusqu’où les choses allait, cela se passait loin et l’information ne leur parvenait jamais.




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