Et maintenant je m’adresse directement à Jean Robin car c’est la première fois qu’il me vient une envie irrépressible de lui répondre ( ou de vous répondre si vous lisez ces commentaires ). Vous dites là des choses qui sont justes : la judéomanie qui, en quelque sorte, "marque contre son camp", la grotesque loi Gayssot qui fait de même. 

Et c’est là que je veux intervenir. Vous dites que cette loi génère de l’antisémitisme et avouez ne pas comprendre la raison pour laquelle vous n’êtes pas suivi dans votre opinion par les élites juives de ce pays... 

Mais monsieur Robin, elles savent parfaitement que vous avez raison, les célites juives. elles le savent parfaitement. Simplement, ils ne peuvent pas vous dire, ces messieurs du crif, de l’uejf et autres, mmmh, "gardiens du temple", que le supposé "antisémitisme" (en réalité totalement résiduel, marginal, voire inexistant ) des français, n’est ni plus ni moins que le moyen de continuer à asseoir leur pouvoir sur et dans ce pays. C’est leur raison de vivre ! Quitte à l’inventer ! Quitte à le provoquer !

Car sans ce fameux "antisémitisme", ils perdent leur raison sociale et tous les avantages afférents, dont vous savez parfaitement qu’ils sont grands ( subventions généreuses, invitations dans les média, statut et statue de commandeur, impunité de fait de la LDJ, quoi que ces petits terroristes fassent, etc ). 

Alors ? Alors s’il faut être malhonnête, nous le serons ( car notre cause est bonne : c’est la nôtre ! ) et s’il faut trouver de l’antisémitisme là où il n’y en a pas, nous le trouverons.

Des exemples ? A la pelle... Le dernier : Eric Naulleau taxé d’antisémitisme par le "journaliste" Haziza pour une photo où il serait en train de faire "une quenelle" ( la désormais fameuse de Dieudonné ). Quelle engeance !

Et si la loi Gayssot génère de l’antisémitisme (quand bien même ce dernier n’est que résiduel ou marginal), c’est donc une bonne loi : elle nous permet de continuer à fonctionner et à faire peser la chape de plomb de la culpabilisation ad vitam aeternam grâce à l’atout maître depuis la seconde guerre mondiale... Et évidemment, qui paye (marginalement, hein, faut pas non plus pousser mémé dans les orties) les pots cassés : le petit peuple juif. Car ce ne sont jamais les Cukierman, Golnadel, Fabius ou autre vedette de la communauté qui sont victimes de l’antisémitisme ultra marginal en France. 

On a donc là un système formidable, super bien huilé, un vrai piège à con : je suis une vedette de la communauté et je crie à l’antisémitisme dès qu’un moustique me pique. Cela exaspère beaucoup de gens, et parmi ces gens, un nombre infime de crétins marginaux décide d’insulter un juif du petit peuple qui passe dans la rue et qui n’en peut mais. La même vedette peut alors venir à la télé chanter le refrain habituel "résurgence de l’antisémitisme en France, ventre encore fécond, bête immonde, etc" qui lui-même, par son outrance grotesque par rapport à une réalité marginale, va provoquer l’exaspération attendue qui, chez un autre crétin marginal va générer le passage à l’acte qui permettra à la vedette de revenir bientôt à la télé. Et voilà comment fonctionne un piège à con.

Dissolution du crif, de la licra et autres officines qui, loin de lutter contre l’antisémitisme ou le racisme, en sont les principaux générateurs !