9/11 : Illégitimité du gouvernement américain
La ville de New York demande : qu’est-il arrivé au 1116 victimes disparues du 11 Septembre ?
Plus de 11 ans après la destruction catastrophique des tours
du World Trade Centre de New York, le gouvernement de la ville pose
enfin la question : qu’est-ce qui a bien pu arriver aux 1116
victimes toujours portées disparues ? Dans toutes les affaires
d’effondrement de bâtiments de l’histoire, les corps des victimes ont
toujours été retrouvés plus ou moins intacts dans les
décombres. Ceci parce que des bâtiments qui s’effondrent
écrasent les corps humains ; ils ne les pulvérisent pas en tous petits
morceaux ou provoquent leur évaporation dans l’air du temps.
Et pourtant, le 11 Septembre 2001, les effondrements les plus
célèbres de l’histoire de l’architecture ont provoqué la disparition
magique de plus de 1000 corps de victimes. Pas même un
bout de peau, un fragment d’ongle ou un éclat d’os de ces
corps ne furent retrouvés et ce malgré des travaux ardus de “tamisage”.
Mais ceci ne constitue pas le seul mystère.
Il ne restait pratiquement rien des 1634 victimes occupant les
bâtiments et qui ne disparurent pas complètement. La plupart des restes
humains découverts et identifiés grâce à leur ADN
étaient sous forme de toutes petites pièces et non pas de
corps intacts ou peu s’en faut. Qu’est-il arrivé aux près de 3000 corps
qui furent annihilés pendant les dix secondes que durèrent
les disparitions des tours de 110 étages ? Réponse : la même
chose que ce qui est arrivé aux meubles des bureaux, aux placards, aux
téléphones, aux ordinateurs et autre contenu des tours.
Virtuellement aucune trace de tous ces objets usuels ne fut
non plus retrouvée. Ces objets, comme les corps humains, se sont
transformés en une mixture de tous petits éclats et de
poussières d’une taille inférieure à 100 microns, qui
flottèrent sur l’océan et y retombèrent en grande partie. Comme l’avait
fait remarquer un des tamiseurs et rechercheurs de ground zéro,
la plus grosse pièce d’équipement qui fut retrouvée, fut un
fragment de cadran de téléphone.
Maintenant, plus de 11 ans après les évènements, le
gouvernement de la ville de New York a finalement reconnu ce mystère.
Dans une note rédigée à l’intention des familles des victimes du 11
Septembre, l’officiel de la ville de New York Casey Holloway a
annoncé ce Lundi 1er Avril, que les services du Chief Medical Examiner
allaient commencer à fouiller 60 contenus de camions
des débris du WTC qui ont été entreposés à Fresh Kills sur
l’île de Staten. La ville dit qu’elle espère trouver les restes de
quelques 1116 victimes toujours portées disparues.
Malheureusement, les chances de trouver plus de restes de
quelques victimes additionnelles semblent être quasiment nulles. Après
tout, les débris des tours jumelles (NdT :
et du 3ème bâtiment effondré : le WTC7…), ne représentent pas
50% de la masse totale des tours (qu’est-il arrivé au reste de cette
masse ?), ont déjà été considérablement tamisés il y a plus
de dix ans. La décision de la ville le 1er Avril de retamiser
des débris ressemble plus à cette décision de George Bush de se mettre à
quatre pattes dans le bureau ovale de la Maison
blanche et de regarder sous son bureau pour trouver les armes
de destruction massive irakiennes qu’on ne trouvait pas. Cela ne
serait-il pas une sorte de mauvais poisson d’Avril ?
L’absence de corps écrasés mais entiers, de meubles de bureaux
et d’équipement et de 50% de la masse des tours suggère que les tours
jumelles (et WTC7), ne se sont pas effondrées, mais
qu’elles ont explosées (voir le film sur YouTube “North Tower Exploding”),
ceci expliquerait pourquoi de tous petits morceaux de corps humains et
d’os ont été retrouvés partout sur
les toits environnants et celui de la Deutsche Bank voisine en
2006. Aucun effondrement gravitationnel, comme celui dont le rapport
gouvernemental du NIST fait état, ne pourrait de manière
plausible pulvériser des squelettes humains en infimes
particules et les disperser sur les toits des bâtiments avoisinants.
Les tours et les gens qui étaient dedans ont-ils été
pulvérisés par des explosifs ? C’est ce que beaucoup des familles de
victimes du 11 Septembre croient. Robert McIlvaine, dont le fils
Bobby a été assassiné dans les tours ce 11 Septembre 2001, a
dit qu’en gros, la moitié des familles partagent sa suspicion et son
avis sur le fait que les tours ont été détruites à
l’explosif dans une attaque fausse-bannière. William
Rodriguez, le célèbre héros du 11 Septembre qui a parlé à des centaines
de milliers de personnes autour du monde, est un autre
représentant des survivants de ce jour néfaste et qui affirme
que l’évidence pour une “démolition contrôlée” est un secret de
polichinelle.
Le scientifique Carl Sagan a un jour stipulé que “l’absence de
preuve n’est pas la preuve d’absence” ; mais parfois, l’absence de
preuve EST l’arme fumante du crime. L’absence de corps
intacts, du contenu des bureaux et de la moitié de la masse
des tours jumelles est une “arme encore fumante” prouvant que les tours
ont été démolies à l’explosif. Le contenu manquant et la
masse des tours ne sont pas la seule “absence” mystérieuse
liée aux attentats du 11 Septembre.
D’autres “preuves manquantes” toutes aussi notables incluent :
- L’absence des plus de 80 vidéos
gouvernementales concernant l’attaque sur le Pentagone, dont certaines
furent confisquées par le FBI quelques moments après l’attaque.
Seuls quelques secondes ont été diffusées et ces quelques
secondes montrent une explosion au pentagone mais pas de gros avion de
ligne.
- L’absence des 100 tonnes du Boeing 757 qui
est supposé avoir percuté le Pentagone. Il n’y a aucune trace des débris
de cet avion de ligne de 100 tonnes ou des bagages des
passagers ou des corps des passagers ou de quoi que ce soit
qui ait été retiré d’une des trois zones distinctes qui ont été
endommagées au Pentagone.
- L’absence des 100 tonnes du Boeing 757 qui
est supposé s’être enfoui dans la terre meuble sous un trou apparent de
5m à Shankville en Pennsylvanie. Il n’y a aucune
évidence des 100 tonnes de débris de l’apparareil
commercial, ni des corps des passagers, ni de leurs bagages, rien n’a
été récupéré de la zone où l’avion est supposé s’être écrasé.
- L’absence des listes officiels de
passagers, des vidéos de sécurité, de souches de tickets, de témoignages
des employés des compagnies aériennes ou de toute autre preuve
montrant que 19 jeunes arabes, blâmés pour les attentats
fussent même dans les avions.
- L’absence des enregistrements audio des debriefings des personnels de la FAA (NdT :
Federal Aeronautic Agency) évaluant ce que chacun a expérimenté de
jour là. Ces enregistrements ont été confisqués par un
superviseur de la FAA et ont été détruits, passés à la machine à
confettis et stockés dans des endroits séparés de façon à ce qu’ils
ne puissent pas être récupérés et reconstruits.
- L’absence des boîtes noires indestructibles
des avions qui ont percutés les tours jumelles. Le gouvernement
américain dit que ces boîtes noires n’ont jamais été
retrouvées, mais des personnels de premières assistances
disent qu’ils étaient présents sur les lieux lorsque les boîtes noires
ont été retrouvées et emmenées par des agents du FBI.
- L’absence de la preuve la plus fréquemment
citée par le gouvernement américain : Les enregistrements audios et
vidéos des longues séances de torture et le transcript des
fausses confessions du “cerveau du 11 Septembre”, le
mentalement retardé Abou Zoubaïdah et son comparse Khalid Sheikh
Mohamed. La CIA admet avoir illégalement détruit ces enregistrements,
des rapports de seconde main anonymes cités dans le rapport
de la commission d’enquête demeurent comme étant les seuls soutiens du
scenario officiel des pirates de l’air.
- L’absence de toute explication innocente et
plausible pour le rapport prématuré de la BBC rapportant, avant qu’il
ait eu lieu, l’effondrement de la tour 7 du WTC et la
confession de Larry Silverstein (NdT :
propriétaire du WTC7) stipulant qu’il avait fait démolir le bâtiment et
la bien sûr bien plus évidente démolition contrôlée de ce
building.
Dans chacun de ces cas, tout comme pour les 1116 victimes
disparues, l’absence de preuve est le “canon encore fumant de l’arme du
crime”.