"sans Machiavel, la cité idéale d’ Aristote
n’ est rien d’ autre qu’ un doux rêve !"
Je réponds à cela dans mon précédent message. Et j’enfonce le clou à mon tour :
Avec Machiavel, la cité idéale d’Aristote n’est plus, à terme, qu’un simple sujet de dispute pour quelques illuminés tels que nous deux dans une société libérale où tout se vaut du moment qu’on a le ventre plein.
Que répondez-vous à cela ?