Pov’ Naulleau ! Comme dit précédemment, au début du bouquin, je
pensais que le Naulleau servait de Sparring-partner mais au fur et à
mesure de leur entretien, nous sommes obligés de
constater qu’il a plutôt servi de punchingball (même sans faire allusion
à la passion de Soral -et la mienne aussi- pour le noble art).
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Naulleau
n’a jamais répondu à rien, mais a cité des auteurs, des citations, des
phrases d’auteurs pour combler son vide sidéral. Pète au vent et se plaint que ça pue ... (phrase pas de moi et qui va comme un gant à Naulleau).
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Je pense surtout
que Soral l’a même ménagé et lui a même sauvé son avenir en lui
annonçant que cet entretien va lui attirer des ennuis ... en effet,
comme ils ne voudront pas donner raison à Soral,feront donc tout pour
retarder les sanctions prévues contre Naulleau.
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Maintenant,
Naulleau n’arrête pas de dire qu’il a contré gna gna gna ... alors qu’il
s’est vraiment ridiculisé. Après leurs entretiens par mail, prenons par
ex. un gars qui ne connaît Soral que de nom ... il lui suffirait de
réfléchir pour comprendre qui dit n’importe quoi, ne fait que semblant de contrer ... et qui dit vrai et
argumente, prouve et surtout, convainc !!!