Etienne Chouard cite quelquefois les travaux de Pierre Rosanvallon,
qui fut en en 1993 l’un des premiers à soulever cette question sur la
méprise historique du mot démocratie. Voir son court texte où il compulse les
journaux de l’époque révolutionnaire (format epub pour liseuse ) :
http://www.mediafire.com/download/hhrrzzs4wf6kfda/LDMD%20PR.rar
La démocratie directe, c’est en quelque sorte un pléonasme. Et la citoyenneté, bien comprise, en est la pierre angulaire.