Salut à toi, Ô grand dispensateur de leçons et grand maître de la treizième tribu d’USraël.
Le goyim que je suis se repend de ses vilains mots et s’aplatit face contre terre pour vous présenter ses humbles excuses. Je suis pire qu’un chien et je quémande votre clémence. Quelques coups de fouets me rendront bien meilleur serviteur.