Bientôt, en ce rasant le matin, Vals pleurera : "Dieudo m’a tuer. Quand même"
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Ce sera écrit avec son sang sur son miroir et l’on retrouvera son corps tragiquement étendu dans sa baignoire, à côté de sa brosse à dents Bisounours et de son canard vibrant "rose socialiste". BHL tournera un film sur cet évènement, digne du "Marat assassiné" de David. Bien sûr ce grand serviteur de l’Etat - qui ne regrettait rien et que si c’était à refaire il ne le referait pas - aura droit - quand même - à un enterrement en Israël. Dans un cimetière pour animaux domestiques, entre la tombe de "Médor, chien-chien fidèle à son maître" et celles de "Coco, mon si beau perroquet".