L’évidence même.
Si le Brésil, avec le pognon qu’ils ont dépensé pour les infrastructures au détriment des plus défavorisés, ne gagne pas la Copa, c’est sûr que socialement, ça risque d’être chaud derrière, et que Dilma Roussef en octobre ne gagnera pas, point barre.
Plus le sport est de haut niveau, plus la corruption est de mise, pas de quoi s’offusquer, comme disent certains, Sport is War...