J’aime bien les accompagnements sonores sur les interviews de Robinou, cette petite musique de fond à peine audible, ces grincements de violons qui mettent en exergue l’empathie-miroir du "journaliste" sur sa propre condition de martyr, de rebelle injustement incompris qui doit se refléter dans le parcours de l’invité dont le rôle est juste utilitaire pour lustrer la statue du Robinou opprimé, du Robinou persécuté, du Robinou réduit au silence car trop subversif et trop "intelligent"...