Il est intéressant d’un point de vue
purement psychologique freudianolacanojunguien de constater qu’une fois de plus
les derniers convertis sont ceux qui font le plus de zèle, valable pour Mr.
Robin, catholicisé de fraîche date et baptisé sur le tard pour faire oublier sa
circoncision au 8ème jour se lançant dans sa nouvelle croisade pourtant mille
fois jouée par des curés de campagnes dans les années 80, en pélerinage
rédempteur dans les écoles pour mettre ne garde du danger de groupes aussi
obscures que AC/DC, (anti christ/death to christ) KISS (Knights Into Satan’s
Service, groupe de juifs de surcroît, Paul Stanley et Gene Simmons des
raccourcis du gland, c’est signé), des Beattles et des Rolling Stones aussi
suppôts transitoires du seigneur des mouches.
Tel le valeureux Laurent Glauzy avant lui, Jean Robin se salimlaïbise pour nous
mettre à son tour en garde contre l’omniprésence du démon dans les oeuvres
musicales conttemporaines, fort de son statut de chrétien tout neuf, tout juste
sorti de son emballage, sa nouvelle orientation journalistique semble prendre
un tournant nouveau et décisif puisque s’attaquant de plein front au délicat et
épineux pèroblème de la pédophilie rituelle en milieu artistique mainstream.
Hélas, trois fois hélas, pour nous autres les illuminés d’agoravox ce n’est que
sujets maintes fois resucés et revisités, et pour ceux qui comme moi ont
fréquenté activement la scène black metal des années 80-90 n’est qu’enfumage de
plus de la part d’un néophyte ingénu faussement pudique qui en oublie jusqu’à
l’importance du folklore et du second degré dans l’imagerie provocante sur un
marché où la concurrence est rude, beaucoup d’appelés peu d’élus, aussi la
surenchère dans les genres est de mise, c’est ainsi que des trublions du genre
Marylin Manson voient le jour, tout en finesse dans l’excès grand guignol pour
se démarquer et se faire remarquer.
N’oublions cependant pas les pionniers d’un genre musical plein de génie aux
mélodies étranges fleurant bon la terre moisie des cimetières profannés, je
vous laisse écouter le premier album de Bathory (1984, comme quoi le mal est ancien)
https://www.youtube.com/watch?v=IFLj1WFJmMA
Et gageons que dans un futur relativement proche, Robin, toujours à la pointe de l’information, ne manquera pas de décortiquer les clips de Lady Gaga comme Bad Romance pour nous avertir de l’imminence précoce de l’invasion de notre planète par les divinités reptiliennes remontant au temps de Summer.