@Soi même
Il faut pour comprendre ce processus naturel, sortir des oeillères idéologiques de l’humain qui s’est cru trop longtemps le centre du monde, la merveille de la création, et revenir à des choses plus logiques, croyez vous que le but de la vie est autre de celui parmi ceux que l’on nous propose ou plutôt nous vend depuis x temps ? L’importance du statut social, gagner nos vies pour de l’argent afin de faire fonctionner un système consumériste ? Avoir un bel écran plat, le dernier modèle de smartphone, avoir du bling bling à ne plus finir, écraser son voisin pour deux euros ou parce que sa femme est plus canon que la nôtre ? Etre ou ne pas être telle est la question...

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Etre ou le paraître, il faut choisir, comme boire ou conduire, nous ne sommes rien, nous nous sommes donné une illusion d’etre quelque chose à partir de fausses informations, redevenons ce que nous sommes, ni plus ni moins, et écoutons ce que la nature a comme projet pour nous plutôt que n’écouter que l’artificielle voie qui nous conduit inexorablement à un destin funeste ainsi que la planète avec nous, quoique comme il lui reste encore selon certaines prévisions quelques 5 milliards d’années de vie, à la planète, il reste encore à la nature son principal locataire avant nous, quelques cordes à son arc si elle devait repartir de 0 pour élaborer une espèce qui pourra apporter la vie telle que nous la connaissons, mais hélas, que trop peu, au delà de ses frontières dans un environnement dont nous ne connaissons rien que l’on appelle l’univers et ses multiples terres fertiles encore sériles qui ne demandent qu’à être fécondée, comme fut la nôtre il y a de cela bien avant notre apparition en tant qu’homo sapiens sapiens..

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Et si, pour que cela se fasse dans des conditions favorables, l’humanité devra fai le choix de sacrifier ses inutiles comme il est d’usage pour les organismes non viables en milieu naturel hostile, et bien cela devra se faire, et nous ne pourrons rien changer malgré nos protestations indignées devant le couperet de la réalité.

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Si une minorité humaine pouvait, continuer sereinement d’explorer, d’analyser, d’observer, de comprendre finalement son environnement en privilégiant ceux et celles qui sont le plus à même d’aporter quelque chose de significatif et exploitant au mieux les capacités énormes humaines dans l’optique commune et bien comprise d’une collaboration intelligente et intensive dans un même but rassemblant l’ensemble de l’humanité comme un seul homme ou équipage d’un vaisseau regardant dans la même direction effaçant de surcroît toutes les erreurs idéologiques, spirituelles ou matérielles de l’humanité d’hier alors j’applaudirai des deux mains cette direction qui me semble logique, naturelle, vraie, une espèce enfin débarrassée de concepts narcissiques, d’enfants gâtés, qui nous mènenet à l’âge bête de cette jeune espèce dont nous sommes des représentants et qui, à en croire l’histoire officiellement reconnue n’aurait pas plus de 200000 ans d’âge, donc nous pouvons comparer l’humanité à une vie individuelle, avec toutes proportions gardées et à l’échelle de 100 ans, nous pouvons estimer que l’humanité en est à son adolescence, c’est pourquoi elle s’amuse avec des allumettes qui peuvent mettre le feu à sa maison, ce qui constitue cette période charnière, qui peut déboucher sur des catastrophes de dimension biblique si ça tourne mal comme un ado nihiliste serait tenté de se suicider parce qu’il a été bolossé par un divers, voyez ?

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70 ans ans après quoi ? Mister vous mêmes ? Ah, oh, la WW2, la seconde guerre mondiale et son cortège de boucherie ? Et alors ? La nature si on devait lui donner une couleur politique serait taxée de nazie puisqu’only the strongs survive et pourquoi est ce que cela serait différent pour nous autres les humains ? Par quelle grâce divine ou non serions nous en espèce de traitement de faveur par rapport aux autres espèces qui ont conquis cette planète avant nous ? Comme certains grands lézards se sont éteints parce qu’ils pensaient devenir plus gros qu’ils ne l’étaient déjà, la grenouille a voulu se faire plus gros que le boeuf, mais le diplodocus il a voulu se faire plus gros que quoi ? Hein ? Si il y a pas assez de gros il y a trop de quoi ? Me souffle à l’oreillette, élisabête L.

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Faudrait voir à revenir à des choses plus réalistes que les idéologies et autres croyances fausses que l’on nous inculque depuis le berceau mais que l’on n’est pas obligés de gober comme yaourt comptant, n’est ce pas ? Les nations, ça veut dire quoi au regard de l’histoire franchement ? Est ce que ça parle à une fourmi noire qui bâtit sa fourmillière de savoir qu’il y a une fourmillière de fourmis rouges qui se construit à 10 km de chez elle ?

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Et bien internet nous fait prendre conscience que nous ne sommes pas les seuls sur terre et nous informe en temps réel ce qui se passe chez les humains des antipodes, chose encore impensable il n’y a pas 20 ans. 

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L’évolution rapide de notre espèce va se trouver confrontée à une espèce de stop dans son élan qui est faux au départ afin de lui donner une chance, à tous ces résultats de spermatozoïdes gagnants de la course à la vie (des millions de perdants condamnés à mort pour ne pas avoir atteint l’ovule le premier, personne n’en parle et pourtant c’est pas Hitler ou Staline qui en sont responsables, étant eux mêmes des gagnants d’une course sinon ils ne seraient, comme nous tous d’ailleurs, jamais nés, à méditer) de se regarder en face et de lui donner l’occasion d’une introspection profonde qui devrait, normalement si il reste encore des gens lucides dans cette humanité, et il y en a plus que je n’en suis capable de le soupçonner, que pour remettre les pendules à l’heure, les points sur les i et les barres aux t ainsi que le clocher au milieu du village, si on veut objectivement former un monde meilleur qui pourrait ressembler à Bienvenue à Gattaca mais il y a de multiples options possibles, et ainsi donner toutes les chances à cette humanité qui croule sous tant de bouches inutiles, dont le nombre serait inconcevable pour un troupeau d’élans, de cerfs, ou que sais je d’autres tellement ce serait invivable et par conséquent mortifère pour le troupeau ou l’espèce, qu’elle devra tôt ou tard s’en débarrasser massivement si elle veut avoir la moindre opportunité, le moindre espoir d’avoir un jour la chance de pouvoir accomplir le destin pour lequel elle est programmée à la base...

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Sachant que nous sommes issus de la nature, que la vie trouve toujours un chemin pour se reproduire, avec ou sans nous, à moins que l’homme mette le feu à sa barraque dans sa crise d’adolescence, évidemment, c’est cette incertitude qui met un peu de piment dans nos existences qui n’en manquent déjà pas, vous ne trouvez pas ? Monsieur vous-mêmes ?