J’imagine qu’ils se réunissent pour faire des tournois de rami, parler du prochain concours de l’eurovision, ou se raconter les grands malheurs ignobles et incompréhensibles du passé.
Ils s’y croient totalement, ils y sont, ils n’ont plus peur de rien. Le coucou pète dans notre soie, et revendique de manière outrecuidante qu’ils sont le boss, propriétaire des lieux et que sans eux rien n’est digne d’intérêt.
Dingue tout ces pigeons d’argile serviles qu’ils trouvent pour remplir leur lobby de profiteurs arrogants.