À wesson,
Je dirais même plus : La Grèce votera probablement OUI
Cette pression des entreprises sur leur salariés se confirme (merci pour l’info). Elle sera probablement déterminante d’autant qu’il fallait déjà une volonté certaine pour oser voter non dans l’ambiance de terreur en cours.
D’un autre coté, Monsieur Tsipras se fait des illusions de croire que la Troïka allait en rabattre et renoncer à ses exigeance à cause d’un NON : En ce cas elle va plutôt et probablement montrer la porte et comme les Grecs (Syriza comprit) tiennent à s’accrocher à l’€ telles des moules à leur rocher hé bien à la fin ce sera de toute façon comme s’ils avaient voté OUI !!! (Cependant un NON laisserait des traces révélatrices du régime instauré par l’UE d’où tout ça !)