Tsipras n’est pas un traître mais une taupe. Il ne joue à aucun poker menteur, il ne fait que jouer sa partition. Il n’appartient qu’au peuple grec de se réveiller de sa séduction et de mettre ce criminel de guerre le plus cruellement à mort, comme les Italiens finirent par faire de Mussolini. En attendant, les peuples de l’Europe et de l’Occident doivent manifester non par pitié pour ce pays qui vend ses enfants comme esclaves aux banksters, mais pour réclamer des sanctions économiques dures comme jamais n’en subit l’Irak, un blocus comme en subit Cuba, et un boycott comme on croit devoir en accabler Israël. Même si c’est pour de mauvaises raisons, je comprends les Allemands de ne pas vouloir verser un sou de plus dans ce tonneau des Danaïdes dont les prisonniers qu’on fait crier exprès ne reçoivent que dalle.