Une hypothèse très intéréssante :
« Le mystère de l’étonnante capitulation
d’Alexis Tsipras au lendemain du référendum est-il en train d’être
élucidé ?
Selon le journal grec To Vima, un média de référence politiquement plutôt à droite, le
plan B d’Alexis Tsipras consistait à introduire une nouvelle drachme et à
financer l’impression de cette nouvelle monnaie avec l’aide de la Russie.
Depuis janvier dernier, dès
sa nomination, Alexis Tsipras avait tenté de prendre ses distances avec
Bruxelles et de se rapprocher de la Russie.
« En somme, le gouvernement Tsipras aurait demandé à la Russie de financer
un Grexit », selon le site Zerohedge. L’idée
d’introduire une nouvelle drachme « a été examinée par
des technocrates et des employés du Ministère grec des finances qui auraient
étudié le modèle de scission de la Tchécoslovaquie en 1993 et l’introduction de
la couronne slovaque », selon Greek Reporter.
Malheureusement pour le chef
d’État grec, la nuit même du référendum du 5 juillet, Vladimir Poutine lui
aurait signifié son refus. La réponse du gouvernement russe n’aurait comporté
qu’une vague avance de 5 milliards de dollars sur le transit du pipeline South
Stream à travers la Grèce.
Dans ces conditions, malgré
l’appui du peuple grec, Alexis Tsipras n’aurait plus eu d’autre choix que
d’accepter le plan d’austérité des créanciers.
http://www.letemps.ch/Page/Uuid/5127e0b8-3095-11e5-903f-511fc5349148/Alexis_Tsipras_aurait_sollicit%C3%A9_Vladimir_Poutine_pour_aider_la_Gr%C3%A8ce_%C3%A0_imprimer_des_drachmes